Le régime fiscal des impatriés vise à inciter salariés et dirigeants résidant à l’étranger à rentrer en France. En sus de l’exonération fiscale de la prime d’impatriation, ce dispositif permet également l’exonération de la fraction de rémunération correspondant à l’activité à l’étranger, si ces séjours sont effectués dans l’intérêt « direct et exclusif » de l’employeur français. Ces déplacements sont fréquents et font partie de l’attractivité du dispositif, la connaissance de l’étranger faisant partie de l’intérêt de l’embauche de ce type de profils. Afin de déterminer la part de rémunération se rapportant à l’activité exercée à l’étranger, les jours d’activité exercés hors de France peuvent être comptabilisés et rapportés au nombre total de jours d’activité effective dans l’année. Or, en raison du confinement et des restrictions de déplacements internationaux, cette part de jours effectués à l’étranger a chuté. Evelyne Renaud-Garabedian a souhaité savoir si, dans le cadre du régime d’impatriation, il était possible de considérer au titre de l’année 2020 la proportion de jours passés à l’étranger l’année précédente, ou bien de comptabiliser les jours de télétravail remplaçant un déplacement à l’étranger. (voir la question ici).
Le calcul pour l’attribution des bourses scolaires AEFE ne prend pas en considération la situation particulière de certaines familles ou la composition précise du foyer. Ainsi, la présence d’une personne âgée ou d’un parent en perte d’autonomie qui cohabite avec la famille boursière et dont elle est à charge n’est pas prise en compte. L’appréciation […]
La France et le Grand-Duché du Luxembourg ont signé le 20 mars 2018 une nouvelle convention fiscale, actant un changement d’approche dans le calcul de l’impôt et de l’élimination de la double imposition. Cette nouvelle méthode a provoqué une aggravation de la charge fiscale pour les quelques 115 000 frontaliers résidant en France et percevant […]
Lorsqu’une demande de visa est formée depuis l’étranger, les demandeurs sont informés de l’octroi ou non par courrier par l’ambassade ou le consulat de France. Pour un refus, cette lettre, rédigée en français, détaille les motifs de rejet, la référence des textes qui fonde ce refus ainsi que les modalités de recours. Nombre de requérants […]