La Sénatrice Evelyne Renaud-Garabedian a interrogé la ministre de l’enseignement supérieur sur la situation des étudiants boursiers du CROUS ne pouvant rentrer chez leurs parents, français résidant à l’étranger cet été. Il est probable que de nombreux pays maintiennent la fermeture de leurs frontières sur les mois d’été. Cela empêchera certains étudiants de retourner dans leur foyer le temps des vacances universitaires, les contraignant à s’acquitter de leur loyer et à assumer les dépenses courantes pendant cette période. Ces dépenses ne sont habituellement pas couvertes par les bourses du CROUS, qui s’étalent sur dix mois. S’il existe bien la possibilité de percevoir une bourse en juillet et en août pour les étudiants dont les parents résident à l’étranger, elle est conditionnée à la poursuite des cours au-delà du 1er juillet. Cette extension estivale n’est pas accessible aux enfants de parents résidant au sein d’un pays européen ou d’un pays riverain de la Méditerranée. Elle lui a demandé si, de façon exceptionnelle, ces restrictions peuvent être levées pour permettre à tous les étudiants boursiers empêchés de rentrer chez leurs parents à l’étranger de bénéficier tout de même du dispositif de bourse pour les mois de juillet et d’août 2020. (voir la question ici)
Le calcul pour l’attribution des bourses scolaires AEFE ne prend pas en considération la situation particulière de certaines familles ou la composition précise du foyer. Ainsi, la présence d’une personne âgée ou d’un parent en perte d’autonomie qui cohabite avec la famille boursière et dont elle est à charge n’est pas prise en compte. L’appréciation […]
La France et le Grand-Duché du Luxembourg ont signé le 20 mars 2018 une nouvelle convention fiscale, actant un changement d’approche dans le calcul de l’impôt et de l’élimination de la double imposition. Cette nouvelle méthode a provoqué une aggravation de la charge fiscale pour les quelques 115 000 frontaliers résidant en France et percevant […]
Lorsqu’une demande de visa est formée depuis l’étranger, les demandeurs sont informés de l’octroi ou non par courrier par l’ambassade ou le consulat de France. Pour un refus, cette lettre, rédigée en français, détaille les motifs de rejet, la référence des textes qui fonde ce refus ainsi que les modalités de recours. Nombre de requérants […]