Les personnels français exerçant dans les établissements scolaires de Santiago et Concepción homologués par l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) se voient attribuer, à leur arrivée sur le sol chilien, un passeport de service. Cependant, aujourd’hui, la réglementation locale ne permet plus à tous les conjoint(e)s de ces recrutés ayant ce type de passeport de travailler. Une grande majorité du personnel enseignant a été informée de cette interdiction de travail fin avril, soit bien après leur acceptation de prise de fonction. Ces restrictions vont très certainement entraîner des difficultés de recrutement pour les établissement d’enseignement français au Chili mais ont surtout pour conséquence directe de priver de nombreuses familles françaises du salaire d’un des conjoints dans un pays où le coût de la vie est de plus en plus onéreux. Malgré plusieurs échanges avec les responsables de l’AEFE et le service diplomatique, aucune solution concrète n’a pu être apportée. Jean-Pierre Bansard a demandé si des discussions avaient été entreprises avec les autorités diplomatiques chiliennes sur ce sujet. Il a souhaité savoir si un soutien de ces personnels détachés actuellement en poste et en difficulté financière était possible avant la rentrée prévue fin février. (voir la question ici)
Le « Pass Éducation langue française » devait permettre aux enfants français résidant à l’étranger et scolarisés dans les systèmes éducatifs nationaux, de garder un lien avec la langue française en accédant à une offre numérique de cours de langue encadrée par un tuteur. Inscrit dans le programme 151 de la loi de finances initiale […]
Les consuls honoraires jouent un rôle essentiel dans la protection des ressortissants français à l’étranger, qu’ils soient résidents ou de passage, ainsi que dans la réalisation de certaines formalités administratives. Ils exercent leurs fonctions à titre bénévole mais conservent toutefois, à titre de frais de bureau et d’honoraires, les droits de chancellerie qu’ils perçoivent, dans […]
À ce jour, la France procède à la reconnaissance et à l’échange des permis de conduire avec une centaine d’États hors Espace économique européen. Cette pratique repose sur de simples arrangements entre administrations ou sur le principe de réciprocité, sans que cela soit formalisé par écrit. Depuis 2012, une révision globale du dispositif d’échanges a […]