Du fait de la très forte dépréciation de la livre libanaise, une partie des salaires des professeurs et personnels des établissements d’enseignement français au Liban est payée en dollars. Afin d’assurer cette partie de la rémunération, il est demandé aux familles une contribution au fonctionnement et développement (CFD) qui doit être acquittée en dollars, en plus des frais d’écolage en livres libanaises. Cette contribution annuelle obligatoire ne fait pas partie des frais de scolarité et n’est pas couverte par les bourses scolaires octroyées aux élèves français. Beaucoup de familles boursières ne peuvent régler cette contribution très élevée. Evelyne Renaud-Garabedian a demandé, qu’en vue de la commission nationale des bourses qui se tiendra le 27 et 28 juin prochain, une concertation des acteurs – administrations, AEFE, fédération de parents d’élèves, organisations syndicales et élus des Français de l’étranger – sur le cas singulier du Liban puisse avoir lieu. Elle a proposé qu’à titre exceptionnel la soulte de l’AEFE soit utilisée pour couvrir la contribution en dollars des familles boursières du Liban. (voir la question écrite ici)
Monsieur Jean-Luc Ruelle attire l’attention de M. le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères sur la problématique de la revente frauduleuse des rendez-vous pour les demandes de visas vers la France et l’espace Schengen. L’externalisation des demandes de visas a permis de recentrer les effectifs consulaires sur l’examen des demandes, les prestataires externes – […]
Les étrangers sollicitant un visa court séjour auprès d’un consulat doivent fournir un certain nombre de documents dont une une attestation d’accueil. Celle-ci doit être sollicitée par l’hébergeant auprès de la mairie de sa ville de résidence qui doit présenter, lui aussi, de justificatifs liés à son identité, son domicile, ses ressources. Une fois validée, […]
La Direction des Français à l’étranger et de l’administration consulaire (DFAE) a indiqué que 20% des rendez-vous pris auprès des services consulaires n’étaient pas honorés. Cette réalité constitue un facteur majeur de désorganisation pour les agents consulaires. La demande étant déjà forte et les créneaux limités, le manquement à ces rendez-vous retarde la disponibilité des […]