Le régime fiscal des impatriés vise à inciter salariés et dirigeants résidant à l’étranger à rentrer en France. En sus de l’exonération fiscale de la prime d’impatriation, ce dispositif permet également l’exonération de la fraction de rémunération correspondant à l’activité à l’étranger, si ces séjours sont effectués dans l’intérêt « direct et exclusif » de l’employeur français. Ces déplacements sont fréquents et font partie de l’attractivité du dispositif, la connaissance de l’étranger faisant partie de l’intérêt de l’embauche de ce type de profils. Afin de déterminer la part de rémunération se rapportant à l’activité exercée à l’étranger, les jours d’activité exercés hors de France peuvent être comptabilisés et rapportés au nombre total de jours d’activité effective dans l’année. Or, en raison du confinement et des restrictions de déplacements internationaux, cette part de jours effectués à l’étranger a chuté. Evelyne Renaud-Garabedian a souhaité savoir si, dans le cadre du régime d’impatriation, il était possible de considérer au titre de l’année 2020 la proportion de jours passés à l’étranger l’année précédente, ou bien de comptabiliser les jours de télétravail remplaçant un déplacement à l’étranger. (voir la question ici).
La pratique permet habituellement aux Conseillers des Français de l’étranger de prononcer une déclaration préalable à chaque conseil consulaire avant l’étude des dossiers techniques, cette déclaration étant portée au PV. Ce temps de parole est la seule occasion pour eux de s’exprimer librement dans leur rôle d’élu au sein des instances consulaires. Or une instruction […]
Le Secours Mensuel Spécifique Enfant (SMSE) est une aide financière attribuée mensuellement aux enfants mineurs Français en détresse à l’étranger. Sophie Briante Guillemont a souhaité obtenir un bilan chiffré des SMSE attribuées par les consulats sur les trois dernières années. Elle a demandé si une extension du dispositif aux enfants ayant atteint l’âge adulte et […]
Les procès-verbaux des conseils consulaires doivent pouvoir être accessibles aux citoyens par leur publication sur le site internet de l’ambassade ou du poste consulaire. Or, dans certains pays, il arrive que les procès-verbaux ne sont publiés – quand ils le sont – que plusieurs mois après la tenue du conseil consulaire. Evelyne Renaud-Garabedian a demandé […]