Le calcul de la quotité de bourse scolaire prend notamment en compte les revenus des familles ainsi que l’indice de parité de pouvoir d’achat du pays de résidence. Pour intégrer ces données, il faut les convertir en euros. C’est le taux de chancellerie du 16 septembre de l’année en n-1 par rapport à l’année scolaire pour laquelle la bourse est demandée qui est utilisée dans ce calcul. Or pour les pays où la monnaie est fluctuante – comme la Turquie – ce taux de chancellerie ne reflète plus la réalité de terrain. Evelyne Renaud-Garabedian a demandé que dans ces pays soit pris en considération non pas le taux de chancellerie mais une moyenne de taux établie sur l’année. (voir la question ici)